LES FABRICATEURS D’IDOLES ET CEUX QUI SE PROSTERNENT DEVANT LES IDOLES FABRIQUEES
Toutes les idoles disparaîtront. ESAIE 2.18
Jetez vos idoles de bois et de cailloux qui vous servent d’objets d’adoration et de cultes, vos statuts que vous avez fabriqué avec vos mains et vos objets, vos croix et autres idoles qui ne servent à rien, qui ne peuvent ni voir, ni entendre, ni parler, et qui sont des objets faits de mains d’Hommes...
Puisque vous n’avez vu aucune figure le jour où l’Éternel vous parla du milieu du feu, à Horeb, veillez attentivement sur vos âmes,
de peur que vous ne vous corrompiez et que vous ne vous fassiez une image taillée, une représentation de quelque idole, la figure d’un homme ou d’une femme,
la figure d’un animal qui soit sur la terre, la figure d’un oiseau qui vole dans les cieux, la figure d’une bête qui rampe sur le sol, la figure d’un poisson qui
vive dans les eaux au-dessous de la terre.
Veille sur ton âme, de peur que, levant tes yeux vers le ciel, et voyant le soleil, la lune et les étoiles, toute l’armée des cieux, tu ne sois entraîné à te prosterner en leur présence et à leur rendre un culte : ce sont des choses que l’Éternel, ton Dieu, a données en partage à tous les peuples, sous le ciel tout entier.
Des dieux, ouvrage de mains d’homme, du bois et de la pierre, qui ne peuvent ni voir, ni entendre, ni manger, ni sentir.
Leurs idoles sont de l’argent et de l’or, Elles sont l’ouvrage de la main des hommes.
Les idoles des nations sont de l’argent et de l’or, Elles sont l’ouvrage de la main des hommes. Elles ont une bouche et ne parlent point, Elles ont des yeux et ne voient point,
Elles ont des oreilles et n’entendent point, Elles n’ont point de souffle dans leur bouche.
Le pays est rempli d’idoles ; Ils se prosternent devant l’ouvrage de leurs mains, Devant ce que leurs doigts ont fabriqué.
Ceux qui fabriquent des idoles ne sont tous que vanité, Et leurs plus belles oeuvres ne servent à rien ; Elles le témoignent elles-mêmes : Elles n’ont ni la vue, ni l’intelligence, Afin qu’ils soient dans la confusion.
Qui est-ce qui fabrique un dieu, ou fond une idole, Pour n’en retirer aucune utilité ?
Voici, tous ceux qui y travaillent seront confondus, Et les ouvriers ne sont que des hommes ; Qu’ils se réunissent tous, qu’ils se présentent, Et tous ensemble ils seront tremblants et couverts de honte.
Le forgeron fait une hache, Il travaille avec le charbon, Et il la façonne à coups de marteau ; Il la forge d’un bras vigoureux ; Mais a-t-il faim, le voilà sans force ; Ne boit-il pas d’eau, le voilà épuisé.
Le charpentier étend le cordeau, Fait un tracé au crayon, Façonne le bois avec un couteau, Et marque ses dimensions avec le compas ; Et il produit une figure d’homme, Une belle forme humaine, Pour qu’elle habite dans une maison.
Il se coupe des cèdres, Il prend des rouvres et des chênes, Et fait un choix parmi les arbres de la forêt ; Il plante des pins, Et la pluie les fait croître.
Ces arbres servent à l’homme pour brûler, Il en prend et il se chauffe. Il y met aussi le feu pour cuire du pain ; Et il en fait également un dieu, qu’il adore, Il en fait une idole, devant laquelle il se prosterne.
Il brûle au feu la moitié de son bois, Avec cette moitié il cuit de la viande, Il apprête un rôti, et se rassasie ; Il se chauffe aussi, et dit : Ha ! Ha ! Je me chauffe, je vois la flamme !
Et avec le reste il fait un dieu, son idole, Il se prosterne devant elle, il l’adore, il l’invoque, Et s’écrie : Sauve-moi ! Car tu es mon dieu !
Ils n’ont ni intelligence, ni entendement, Car on leur a fermé les yeux pour qu’ils ne voient point, Et le coeur pour qu’ils ne comprennent point.
Il ne rentre pas en lui-même, Et il n’a ni l’intelligence, ni le bon sens de dire : J’en ai brûlé une moitié au feu, J’ai cuit du pain sur les charbons, J’ai rôti de la viande et je l’ai mangée ; Et avec le reste je ferais une abomination ! Je me prosternerais devant un morceau de bois !
Il se repaît de cendres, Son coeur abusé l’égare, Et il ne sauvera point son âme, et ne dira point : N’est-ce pas du mensonge que j’ai dans ma main ?
Ils leur ressemblent, ceux qui les fabriquent, Tous ceux qui se confient en elles.
Ils reculeront, ils seront confus, Ceux qui se confient aux idoles taillées, Ceux qui disent aux idoles de fonte : Vous êtes nos dieux !
Ils sont confus, tous ceux qui servent les images, Qui se font gloire des idoles.
Ils sont tous honteux et confus, Ils s’en vont tous avec ignominie, Les fabricateurs d’idoles.
En ce jour, les hommes jetteront Leurs idoles d’argent et leurs idoles d’or, Qu’ils s’étaient faites pour les adorer, Aux rats et aux chauves-souris ;
En ce jour, chacun rejettera ses idoles d’argent et ses idoles d’or, Que vous vous êtes fabriquées de vos mains criminelles.
Assemblez-vous et venez, approchez ensemble, Réchappes des nations ! Ils n’ont point d’intelligence, ceux qui portent leur idole de bois, Et qui invoquent un dieu incapable de sauver.
Déclarez-le, et faites-les venir ! Qu’ils prennent conseil les uns des autres ! Qui a prédit ces choses dès le commencement, Et depuis longtemps les a annoncées ? N’est-ce pas moi, l’Éternel ? Il n’y a point d’autre Dieu que moi, Je suis le seul Dieu juste et qui sauve.
Tournez-vous vers moi, et vous serez sauvés, Vous tous qui êtes aux extrémités de la terre ! Car je suis Dieu, et il n’y en a point d’autre.
Je le jure par moi-même, La vérité sort de ma bouche et ma parole ne sera point révoquée : Tout genou fléchira devant moi, Toute langue jurera par moi.
Je suis l’Éternel, c’est là mon nom ; Et je ne donnerai pas ma gloire à un autre, Ni mon honneur aux idoles.
Parole de YAHWE ADONAY, Le Seigneur DIEU.
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28/11/2021